En 2020, 24 sessions du B'n'B - dont 20 en distanciel - se sont déroulées.
Autant de comptes-rendus ont été envoyés toutes les deux semaines.
Nous n'avons jamais cessé de maintenir un lien précieux entre nos sympathisants,
et cela dès l'annonce du premier confinement en mars 2020.
Espérons que 2021 marquera un retour à des échanges de visu
car rien de remplace un véritable "réseau social", vecteur de partages d'expériences,
d'écoute bienveillante et de convivialité !
Meilleurs vœux pour 2021 !
Tout est allé très rapidement pour François
Briat. Comme il l'a raconté à Patrick Ducher et Arnaud Chambert-Protat, lundi, il identifie une offre sur un site d’annonces du secteur public. Un poste d'ingénieur projets s’ouvre à l'Ecole
Nationale Supérieure de la Police (ENSP) au sein d'un laboratoire de recherche unique en France. Le lendemain, il postule sans trop y croire. Le surlendemain, on lui propose une interview par
Skype, pour laquelle il devra « pitcher » en anglais.
Un peu tendu face à deux capitaines, François débute sa présentation de 2 minutes. Il répond du tac au tac à des questions courtes et précises. L'essai est concluant malgré les doutes. Le voilà convoqué de nouveau, cette fois-ci face au directeur de l'institution en personne, flanqué des deux intervieweurs.
Lorsqu'on connait un peu François, la situation a de quoi surprendre. Lors des sessions au B'n'B, il a coutume de se présenter comme un "alien". En effet, son parcours est éclectique, tout comme
ses hobbies et ses engagements. Il a été tour à tour chargé de projets dans un laboratoire traitant d’urbanisme (ainsi que 31 disciplines associées), il a coordonné l'organisation de conférences
scientifiques, piloté des thésards et des étudiants, fédéré des actions auprès d'acteurs de la vie publique, collecté des financements... Titulaire d'un master 2 en infectiologie, il est
passionné de littérature, d'histoire, de séries télé, ex-coach et arbitre d'une équipe féminine de roller derby et très impliqué dans un collectif anti-TAFTA. Un vrai touche-à-tout qui avait jusque-là bien du mal à justifier son
positionnement professionnel.
On imagine donc la tête de ses interlocuteurs lorsqu'ils le découvrirent « en vrai », habillé d’une chemise à manches courtes ouverte sur un tee-shirt de geek, laissant apparaître de larges
tatouages. Car François a voulu se montrer sans fard, ne pas tricher (surtout face à des policiers !) et aller à l'entretien par goût du défi et de la découverte. Tout en se montrant ouvert, il a
demandé d’entrée si cette tenue était « gênante ».
Bien lui en a pris de rester naturel, puisque pendant les deux heures et demi de l'échange, ses interlocuteurs se sont montrés très à l'écoute et compréhensifs. En effet, l’institution est
soucieuse de se rapprocher de la population civile en embauchant des candidats hors du commun. Son recrutement fait donc partie du montage d'une équipe pluridisciplinaire dont François sera le «
doyen ». Sa mission consistera à monter des projets en rapport avec les multiples activités de l'école, tant en interne qu'auprès d'acteurs externes comme les sapeurs-pompiers, et aussi
d’organismes partenaires dans toute l'Europe, et internationaux.
Il devra être par ailleurs force de proposition, ce qui n'est pas pour lui déplaire. Pendant l’entretien, il a déjà positionné plusieurs sujets car il arrive avec un solide carnet d'adresses :
ses connaissances s’étendent sur plus d’une trentaine de spécialités allant de l’archéologie à la cybercriminalité ! Une sacrée découverte en perspective pour ce garçon d’une curiosité effrénée,
mais qui lui posait un cas de conscience. En effet, il s'agit d'un environnement opérationnel qui, a priori, est assez éloigné de ceux qu’il a pu connaître. Pourtant son entourage proche l'a
encouragé, persuadé qu'il saura apporter sa pierre à un édifice en construction. Du reste, c'est son parcours, si éclectique, qui a séduit ses interlocuteurs. Il apporte une vision « tout-terrain
» concrète, il est curieux et a une vraie capacité à fédérer des énergies. Anecdote : un point de son CV a retenu l'attention de ses examinateurs : sa participation au B'n'B, sur lequel ils ont
cherché à en savoir plus et qu’ils ont jugé très intéressant pour son ancrage dans le monde professionnel et ses évolutions !
François doit prendre ses fonctions le 1er septembre. D’ici-là il nous dira ce que ça fait de porter chemise et cravate ! On exige une photo ! 😁 En attendant, il témoigne ainsi de son expérience
au sein du B'n'B :
"Bien qu’étant en emploi dans un secteur que j’apprécie, j’ai décidé de recommencer à chercher un poste suite aux changements opérationnels intervenus cette année dans ma structure. Ne me sentant plus en phase avec celle-ci, j’ai décidé d’anticiper la fin de mon contrat, les meilleures offres dans mon secteur étant en général disponibles entre septembre et octobre.
Contrairement à d’habitude, je ne suis pas parti dans tous les sens pour chercher un poste. Le B’n’B m’a surtout appris à décortiquer les offres, à les cibler et à faire un focus sur
quelques-unes. J’ai donc commencé doucement, en regardant les offres disponibles, puis j’ai essayé de me projeter dedans avant de ne finalement répondre qu’à deux offres en priorité. J’aurais
élargi par la suite si nécessaire. En me focalisant sur un nombre restreint d’offres j’ai pu mieux me préparer aux entretiens. Je les ai abordés avec plus de confiance - merci les
entraînements hebdomadaires et bimensuels au pitch ! - et une certaine décontraction malgré les tentatives d’interview « à chaud » de mes interlocuteurs. L’entrainement a payé,
le pitch était prêt, je l’ai déroulé en anglais et français. Mes mots clés ont fonctionné. Bref, merci le B’n’B !
Je rajoute un merci spécial à Catherine Bassompierre pour ses conseils professionnels et à tous les collègues du B’n’B pour leur soutien. Et Merci à Corinne Oudot-Jacob et Marine
Chanteperdrix pour leurs mises en relation".
#partagedepratiques #bistrotetbusiness #pitch #réseau #networking
Avec le germe, on a dû suspendre nos séances. Dommage, le Berkeley est un endroit bien sympa. Et puis, il m'est apparu qu'en ces temps bizarres, le B'n'B se devait de maintenir un lien social - même virtuel - entre ses sympathisants et de ne pas attendre la disparition du C-19. Par conséquent, nous avons réalisé un RV Skype en visio de 1 heure vendredi passé, 20 mars.
Les buts :
1. Juste échanger et partager trucs « fun » et astuces organisationnelles pour mobiliser le temps dont nous disposons étant données les circonstances
2. Partager chacun des problématiques pros auxquelles nous pourrions faire face ensemble ou individuellement.
Quelques bricoles :
Le CR de nos échanges est téléchargeable ci-dessous.
"On le sait tous, la démarche réseau n'est pas simple à adopter. Et combien la solitude dans la situation de quête d'emploi peut devenir pesante. Il est toujours beaucoup plus facile de
"vendre" les autres que de se vendre soi-même.
S'il est un lieu qui permet de dé-focaliser, ou plutôt re-focaliser, en toute bienveillance, c'est bien BnB : parler et écouter, sans jugement de quelque nature que ce soit, accueillir
mutuellement, échanger, conseiller, encourager, Bistrot et Business (B'n'B) m'a permis de mieux comprendre certains enjeux et de produire un "pitch" plus percutant.
La qualité du B'n'B réside dans la diversité de ceux qui se retrouvent. Craignant une inadéquation à mes attentes, j'ai très largement ouvert les yeux sur la richesse offerte par ces
différences.
Je ne peux que recommander de participer aux sessions du B'n'B, et resterai très ouvert et attentif à ce qui s'y partage."
Hervé M. - Property Manager
Dorothée Roujon, responsable marketing opérationnel, a
participé le 22 janvier dernier à l'atelier "Cerner son métier et créer son réseau" de Graine d'Horizon organisé au Mix Coworking de
Tassin, et co-animé par Patrick Ducher venu présenter "Entre preneurs de Jobs", son livre de partage de pratiques issu de l'expérience du "B'n'B".
Le témoignage de Dorothée : "Le livre m'aide beaucoup pour construire mon discours, mes outils et ma propre démarche réseau. Sa lecture me nourrit, me fait réagir, créé des déclics et
m'inspire, notamment sur ma capacité à apporter un "plus" à mes interlocuteurs. J'ai appris aussi à dépasser la barrière du phoning. Le livre donne des clés humaines et interactives pour
construire et nourrir mon projet. J'ai commencé la lecture chronologiquement, puis je suis retourné à la table des matières, j'ai découvert un sujet qui m'intéressait et j'ai adoré picorer des
trucs et astuces au gré de mes besoins. C'est une véritable boîte à outils, dont les témoignages offrent une vision concrète du réseautage".
Yves Le Gal en avait parlé cet hiver au BnB : il avait rejoint une troupe de théâtre amateur et collaboré à l’écriture d’une pièce. Deux représentations ont eu lieu mardi 29 et mercredi 30 mai. Patrick Ducher y était et a pu interviewer Yves au sujet de cette expérience singulière. Nous avons dressé un parallèle entre le travail d’acteur et ce que peut vivre le chercheur de job ou de clients.
Reportage et interview à télécharger ci-dessous.
Patrick Ducher a recueilli il y a quelques temps le témoignage d’une sympathisante assidue du B’n’B. Dans le passé, pendant plus de dix ans (1988-1999), elle fut la cofondatrice et cogérante d’une société de services aux entreprises. Selon elle, il existe deux types d’entrepreneurs : ceux qui créent une entreprise et les autres. Elle a expliqué pourquoi dans l’interview ci-dessous, dont les principaux points évoqués furent :
Article complet à télécharger ci-dessous.
Comment faire émerger sa personnalité professionnelle et savoir pour quel métier on est vraiment fait ? N’oublions pas que “travail” vient de “trepalium”, un instrument de torture ! Choisir son
métier implique un véritable parti pris nécessitant une analyse fouillée. Egalement, comment initie-t-on une démarche réseau pour collecter des contacts intéressants et efficients ? Des outils
numériques (LinkedIn entre autres, mais pas seulement) sont à notre disposition, encore faut-il en maîtriser les codes. Enfin, le partage de pratiques entre pairs en recherche ou en cours de
constitution d’une activité constitue aussi un levier efficace pour débuter une démarche réseau. C’était le sens de l’atelier organisé par Graine D’Horizon ce mardi 6 mars 2018, en compagnie de
Anne d'Ersu, Jean-Paul Lareng et Patrick Ducher (Bistrot
et Business)
Article complet à lire à cette adresse.
Le consultant indépendant est un chasseur solitaire. Les affaires qu’il décroche résultent d’un patient et difficile travail de prospection. En outre, il est seul responsable de ses victoires comme de ses échecs. Ses concurrents sont des prédateurs potentiels et il n’envisage pas une seconde de s’associer car il veut rester en en solo… "libre" !
Parfois, pourtant, des opportunités peuvent survenir qui ne peuvent être gérés en solo. Que faire ? Laisser tomber ? Qui de nos jours se permet de laisser passer une affaire ? Certainement pas l’indépendant audacieux avide d’expériences nouvelles et de défis !
Récit d’un duo de BnBiens, experts en production rédactionnelle.
Un prérequis indispensable : la connaissance de l’autre
Ayant l’opportunité de rédiger un ouvrage commémorant le centenaire d’un établissement scolaire, Patrick Ducher (à gauche) s’est rendu compte que la tâche allait s’avérer trop importante pour lui seul, étant donnée la masse d’informations à
traiter (plus de 500 documents), l’échéance (5 mois) et le pilotage de sous-traitants imposés par le client. Plutôt que de renoncer, il a décidé de monter une collaboration le temps du projet :
"J’ai choisi de contacter Arnaud Chambert-Protat, rencontré originellement grâce à Viadeo. Je l’ai
invité par la suite au B’n’B et nous avons scellé une connivence autour de goûts musicaux communs. Je connaissais bien ses compétences et je savais que son expérience me serait précieuse sur ce
projet de longue haleine". Les appréhensions de départ étaient réelles : Arnaud travaillait au ralenti depuis deux ans, suite à un grave accident. Allait-il être à la hauteur ? En outre, il
n’avait jamais travaillé en binôme. Patrick ajoute : "Je savais qu’il connaissait ce type de projet, et celui-ci pourrait le remettre en selle, tout en me permettant de monter en confiance. Si ça
"matchait" entre nous, c’était vraiment du gagnant-gagnant !"
Article complet à télécharger ci-dessous.
De gauche à droite : Klaus Hedeggard, Frédéric Cimetta, Delphine Guyard-Meyer, Antoine Bonell et Nicolas Job
Plusieurs sympathisants du B'n'B (Klaus Hedegaard, Frédéric Cimetta, Annick Gutmann) font partie du club "Pro'Pulser" qui s’adresse aux plus de 50 ans, diplômés de l’EM Lyon Business School en cours de démarrage d’une activité de consultant, prêts à venir chercher auprès d’anciens qui ont connus le même parcours, conseils et aide. Il s’inscrit dans la lignée de l’EM Lyon Business School qui vise à favoriser une « employabilité à vie » des alumni.
Le 20 septembre dernier, Patrick Ducher, coordinateur du B'n'B, a été invité à une table ronde intitulée "Passer du statut de salarié à celui de consultant : les conditions pour réussir". Cette table ronde a rassemblé autour de Nicolas Job (PGE promo 1976) 3 personnes ayant évolué du salariat au conseil : Klaus Hedegaard (expert en amélioration continue), Delphine Guyard-Mayer (Cabinet Conseil en Ressources Humaines) et Antoine Bonell (Consultant formateur en management et GRH). Les échanges ont été passionnants, car basés sur des questions concrètes de la salle émanant d'une quarantaine de personnes, le tout animé de main de maître par Frédéric Cimetta.
Les questions :
Que des bonnes nouvelles annoncées lors du pique-nique du B'n'B organisé à l'initiative de Pascale et Arnaud devant les serres du parc de la Tête d'or ! Avec : Florence Clément-Dietrich, Pascale Collet, Patrick Ducher, Laurence Nicvert, Sylvie Péquigniot
Michel Martinez, Yves Le Gal, Arnaud Chambert-Protat, François Briat, Jérôme Pérusat, Frédéric Cimetta. Photo de Pauline Désormière. Sont également passés : Klaus Hedegaard et Pascal Perez
Discussions spontanées, networking improvisé, convivialité, c'est ça le B'n'B !
Le B'n'B a eu le plaisir d'accueillir le conférencier, médiateur et fondateur de l'académie du Ménagement Jacques Pommier, venu voir comment des cadres en transition et des neo-consultants s'y prenaient pour partager de façon informelle des pratiques et problématiques communes afin de rechercher des employeurs ou des clients. Jacques a ponctué nos échanges de remarques éclairantes. À 78 ans, il est plus pertinent que bien des consultants juniors. Voici un pot-pourri de ses commentaires :
Jacques Pommier n'est pas un conférencier comme les autres. Ayant dépassé l'âge de la retraite, il aurait pu se contenter de faire du jardinage ou du roller (une passion qu'il pratique près de Thonon). Au lieu de ça, il a décidé de partager sa longue expérience de dirigeant, de consultant et de médiateur auprès d'associations et d'institutionnels à travers des conférences telles que "Négocier avec un imbécile heureux", " Naissance vie et mort des métiers", " ou encore "Quand les robots tiquent" : La période de transition où humains et robots se partageront les responsabilités dans l'entreprise". Il est également membre de l'académie du "Ménagement".
Le bonhomme est un brin provoc'. Se targuant de n'avoir lu aucun livre et d'avoir détesté l'école, son point de vue est le résultat d'une observation rigoureuse de situations vécues en entreprise et durant sa carrière de consultant indépendant. Sous une apparence pateline et un phrasé rigolo (oui, il use parfois de gros mots et de bons mots), Pommier n'est pas naïf et prône un pragmatisme éclairé.
En ces temps de morosité, la bonne humeur, le bien-être au travail ou, pour reprendre le jargon officiel la "QVT" (Qualité de Vie au Travail) se doit d'être le fruit d'une concertation de tous les acteurs de l'entreprise, ce qui n'est pas simple. Comment jongler entre médiation, négociation consensus, ou compromis ? L'époque nécessite de plus en plus d'adaptabilité de la part des individus et tout le monde n'est pas outillé.
Selon Pommier, il est vital de créer les bonnes conditions d'écoute pour que chacun se sente bien dans son job, dans son activité, dans son environnement. Même si cela nécessite des départs concertés, des réorientations, des changements de carrières. La mise en œuvre d'un processus d'écoute et de concertation passe aussi par une phase d'incertitude qu'il faut accepter (il parle de "co-errance").
Quant aux jeunes de la Génération X (et la suivante), il cite l'exemple de sa petite-fille qui se lamente d'avoir trouvé ... un CDI : "Tu te rends compte, j'ai peur de m'ennuyer !". Les entreprises doivent aussi s'adapter à ces nouveaux comportements, ces habitudes parfois en décalage avec les formes traditionnelles d'emploi. A suivre...
Pas moins de 7 sympathisants du B'n'B ont assisté à cette conférence de Jacques Pommier "Une bonne ambiance ça se décide et se fabrique" qui s'est déroulée à Sup La Mache : de gauche à droite - Michel Martinez, Patrick Ducher, Laurence Goubier, Yves Kraus, Vanesssa Bazille, mais aussi Sandrine Adam et Annick Gutmann (grâce à laquelle nous avons été informés de l'événement)
5 membres et sympathisants du B'n'B (Michel Martinez, Estelle Reynaud, Brigitte Terrier, Patrick Ducher et Virginie Ferraton ) ont participé au Lab Humaninnov le 20 octobre dernier au Campus René Cassin dont le sujet était “Le sens créateur de bien-être en entreprise”. La soirée était divisée en 3 moments :
- une séquence Inspiration avec les témoignages de Pierre-Marie Argouac’h (DRH groupe FDJ), Frédéric Roques, conférencier ex-Egis.
- Une séquence "Impulsion" avec trois présentations : Rémy Lasnet (chargé de mission santé au travail CFDT), Jérémy Lamri (responsable de la startup Monkeytie) et Philippe Guelpa-Bonaro (espace co-working La cordée)
- 4 ateliers étaient proposés durant la séquence "Action" : les espaces de travail, la motivation, le dialogue entre salariés/managers/partenaires sociaux et les rythmes de travail. Le but : co-construire des solutions concrètes duplicables et applicables en entreprise pour créer du sens et du bien-être au travail. Ces ateliers ont donné lieu à une "battle" de pitches et de tweets.
Bravo à Virginie qui faisait partie de l'équipe gagnante pour le projet traitant de l'organisation des futurs espaces de travail sans bureau, et le slogan "Sous le tipi tout se dit et sur le gazon on est moins con". Le scribe, quant à lui a eu le plaisir de coacher bénévolement l'équipe finaliste "Have a break, meditate" : 3 minutes pour réapprendre à vivre le moment présent, pour soi et pour les autres, ou comment s’investir à 100% avec les personnes avec lesquelles je travaille à l’instant T.
Une belle expérience dont le compte-rendu détaillé est consultable ci-dessous.
Le B'n'B était en configuration "atelier" ce lundi 10 octobre. Le principe : une thématique transverse susceptible d'intéresser le plus large nombre de participants, de faire venir ceux qui ne sont pas là / peuvent pas d'habitude, le tout si possible en mode participatif et collaboratif.
À l'initiative de Florence Bes, le thème retenu et mis en œuvre par Brigitte Terrier et Patrick Ducher était : "Quel impact lors d'une prise de parole en public, lors d'un RV pro, face à un recruteur) ? Comment jauger sa posture, surtout lorsqu'on ne se sent pas à l'aise pour s'exprimer "en live" ?
Le processus était simple : chaque participant devait noter les 3 impressions qu'il/elle souhaitait faire passer à travers une courte présentation orale de 3
minutes. Il n'était donc pas question de pitch commercial, mais bien de véhiculer "quelque chose".
Les animateurs ont donc demandé à chacun de prendre 10 minutes de réflexion pour noter sur un Post-It quelles caractéristiques (qualité, points forts, expertise, ...°) ils/elles avaient envie de faire passer dans un environnement professionnel (networking, entretien, intervention devant un groupe, ...). Mais au B'n'B, on apprend aussi la gestion de l'inattendu. Les animateurs ont demandé aux participants non pas de parler d'un sujet "pro" mais plutôt d'un livre, d'un film, d'une activité qui les a dynamisés, rendus heureux, leur donné du pep's et d'expliquer pourquoi.
Le but : faire parler les "tripes", car elles ne mentent pas en 3 minutes ! Certains y sont allés à reculons avec des résultats étonnants. Quand on est sincère dans
ses propos, mêmes maladroits, l'émotion passe, des freins se lèvent et, parfois, une prise de conscience s'opère et certaines pensées limitantes sont oubliées. Une fois la bonne posture
"conscientisée", il suffit de trouver la façon la plus naturelle de s'exprimer. Un participant s'est exprimé dans sa langue natale, le danois. Sans comprendre ses propos, le public a su
comprendre ses intentions à travers la voix, la posture, la gestuelle et le regard.
Ressentir l'impact du "parler vrai", de l'authenticité dans ses prises de parole est inestimable, d'autant que le principe de la PNL mis en œuvre était bienveillant
: les observateurs notaient sur un post-it "J'ai ressenti, j'ai aimé, je suggère". Chaque orateur est reparti avec une pochette et des retours personnalisés.
Étaient présents : Sandrine Adam, Anne-Marie Boissy, Patrick Ducher, Rémi Ginier, Klaus Hedegaard, Yves Le Gal, Michel Martinez, Julien Roblet, Brigitte Terrier,
Marylène Vanden Eyden
Quelques retours :
Un petit mot pour dire que l'atelier de ce lundi m'a permis de voir que l'idée que je me faisais de parler à un auditoire est bien plus facile que ce que je l'imaginais.
De cet atelier il en est sorti, (pour moi) : une "capacité de faire" et "une crainte qui s'est envolée" ... C'est constructif de pouvoir tester les possibles. Merci aux gens du B'n'B de m'avoir permis de franchir ce pas.
Michel M.
D'abord, je vous remercie pour votre accueil au sein de votre groupe. J'ai beaucoup aimé l'atelier et bravo à Brigitte pour son naturel si formateur. Chouette, ce compte-rendu et la remise de votre "Chaud Doudou"! Cela a un sens, entre ceux de la concrétisation, mise en expérience, et, estime de soi. Sandrine A.
"Plusieurs membres du B’n’B lauréats de la “battle de pitch” présenté par le co-fondateur Patrick Ducher sur le thème “Comment casser les codes des entretiens ?” De gauche à droite : Florence Cottier, Estelle Reynaud, Pascale Collet, Laurence Nicvert et Patrick Ducher. Participait également Yves Le Gal. Patrick s'est "arraché" face à 80 personnes. Le jury était présidé par Christophe Des Arcis – DRH Euronews. Avec également Patricia Ardillier (présidente de la fondation Humaninnov), Sandrine Chassigneux (fondatrice du cabinet RH Amaudeo).
La "team" avait imaginé une entreprise qui recruterait des "candid'acteurs" à travers une chasse aux trésors. Le recruté potentiel est chargé d'un mission au sein de l'entreprise. Originalité de la démarche : tout le personnel est impliqué dans le recrutement ! Le candidat devra aller à la pêche aux informations pour mener à bien sa mission. Il devra faire preuve de nombreuses qualités "en live": capacité de négociation, improvisation, jugement, échange...
"L’audace ou la magie de l'optimisme : penser positif au service de la performance " - IAE Lyon School of Management, Université Jean Moulin
Laurent Jupin, dirigeant de Verbalis, est un coach- formateur en management atypique. Il illustre ses propos par des tours de magie commentés en s’appuyant sur des situations réelles en entreprise. Selon lui, nous sommes parfaitement en mesure de décider d’être optimistes, il suffit d’activer les bons leviers.
Table ronde animée par Laurent Odouard, rédacteur en chef régional du groupe Tout Lyon avec : Carole Tawena, directrice-fondatrice de la société Karethic, Céline Varenne Souchon co-fondatrice de l’agence Witty Cies, Pierre Bord Directeur Général de l’Hôtel Le Negresco (Nice).
Le B'n'B s’y était rendu en force. Avec Christel Delort, Pascale Collet, Florence Cottier, Patrick Ducher, Jérôme Pérusat. Etaient aussi présents : Yves Kraus et Estelle Reynaud.
Manufacture des Tabacs, Université Jean Moulin Lyon
Deux consignes avaient été données par Patrice Henry, l'un des "G.O." de cette 47ème édition des rencontres organisées par les Rotary Clubs de Lyon : "Faites
rêver les lycéens sur votre profession, mais soulignez le fait qu'elle nécessite un haut niveau d'exigence". 80 professions présentées, 4000 lycéens attendus : le défi était donc de taille
!
Pas moins de 6 membres du B’n’B avaient répondu "présents" à l’invitation de Patrice : Yves Kraus, Annick Gutman, Frédéric Cimetta, Patrick Ducher, Jérôme Pérusat
et François Nicolas. Le spectre des professions était très large : de la finance à la direction d’entreprise, en passant par le commerce international, l’industrie, la mode ou la communication.
Au final, près de 800 lycéens ont bénéficié des présentations éclairées de nos participants ! Quelques questions candides : "Est-ce qu’on gagne beaucoup d’argent ?" ou "Est-ce que
c’est facile comme boulot ?" et encore "Est-ce qu’il y a des débouchés ?". Mais aussi un réel intérêt pour tous les aspects des diverses professions!
Merci à Patrice d’avoir donné l’occasion de cette belle expérience de partage !
Sur la photo, de gauche à droite : Yves Kraus, Annick Gutmann, Frédéric Cimetta, Patrick Ducher, Jérôme Pérusat, François Nicolas et Patrice Henry.
Public : ESDES DSCG 1+2, et 5A Majeure Expertise & Contrôle, étudiants, jeunes ou anciens diplômés en transition professionnelle, néoentrepreneurs
A l’initiative de : CLAUDE BAILLY-MASSON (responsable du programme DSCG et de la Majeure Expertise & Contrôle) et PATRICE HENRY (CEO / Group CFO)
Une présentation recréant, sous forme de mini- saynètes, l’atmosphère du « B’n’B » (Bistrot et Business)… Les principaux thèmes de la recherche d'emploi
ou de client sont abordés sous une forme vivante et pratique, loin de la traditionnelle conférence ou table ronde.
Quelques thématiques : "Faire connaissance et/ou se faire connaître", "Killer pitch", "Jeune diplômé, comment faire valoir mes compétences ?", "Comment
réseauter"...
"J'ai commencé à lire Entre Preneurs de Jobs. Je vous présente mes félicitations pour cet ouvrage original, intéressant et agréable à lire". C. B-M.
Les intervenants :
· François Nicolas : Expert de la relation client, fondateur du B’n’B
· Patrick Ducher : Conseil en stratégie rédactionnelle BNB, co-fondateur du B’n’B et auteur du livre "Entre Preneurs de Jobs"
· Frédéric Cimetta : Consultant en Finance d'Entreprise
· Klaus Hedegaard : Consultant amélioration continue (Lean Simplexity)
· Gaya Amer : Jeune diplômé, chargé de marketing
De nombreuses personnes en transition professionnelle ou en passe de monter une activité sont rebutées voire angoissées par le réseautage. La conférence organisée à l’École de Management (EM) de Lyon avec la participation de l’ANDRH s’adressait aux jeunes et anciens diplômés en transition professionnelle, aux coachs, aux néoentrepreneurs, aux étudiants, ainsi qu’aux consultants RH.
Elle proposait une vision théâtralisée de nouvelles pratiques de réseaux relationnels mises en oeuvre dans un cadre informel et bienveillant.